Pleinement engagé dans la révolution énergétique, ENGIE met en œuvre une nouvelle étape de sa transformation. Après la mise en place d’une organisation au 1er janvier 2016 qui a conduit au renforcement opérationnel de ses Business Units géographiques, ENGIE poursuit la décentralisation de son organisation pour gagner en agilité et en proximité avec ses clients. Ainsi, le Groupe redéfinit les missions et la taille de son siège. Aujourd’hui réparti sur trois sites, le projet prévoit une bi-localisation de son siège à Paris et Bruxelles et la fermeture du siège à Londres.
Ce projet de réorganisation prévoit la suppression nette de 504 postes, dont 312 en France, 116 en Belgique et 76 au Royaume-Uni.
ENGIE a remis ce jour aux instances représentatives du personnel ce projet d’organisation de son siège dont la mise en place s’étalera jusqu’en 2019. Il ne conduira à aucun licenciement et reposera uniquement sur le principe du volontariat.
Conformément à son engagement en faveur du dialogue social, ENGIE a depuis plusieurs mois associé les salariés et les représentants du personnel à ce projet et a construit un dispositif d’accompagnement individuel :
- Un plan de départ à la retraite conforme à l’accord d’entreprise signé à l’unanimité par les organisations syndicales ;
- Un programme favorisant la mobilité interne et la formation pour les salariés du siège ;
- Un plan de départs volontaires.
ENGIE emploie 153 000 collaborateurs dans le monde et prévoit de recruter 12 000 salariés en 2017. En France, le Groupe emploie plus de 70 000 personnes et prévoit de recruter 4 000 personnes en CDI en 2017.